Oui, il y a encore de l’espoir sur le front du climat et les acteurs économiques doivent vraiment passer à l’action en 2022.
Les conditions sont réunies. Au-delà des cercles citoyens, la lutte contre le changement climatique devient un enjeu pour les entreprises et les territoires. De plus, la stratégie climat est également officiellement au cœur de la présidence française de l’Union européenne pour le premier semestre 2022.
Et pendant ce temps… Le niveau mondial des émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine grimpe année après année, inexorablement. Seule l’année 2020 fait exception à cette règle, en raison du ralentissement économique lié à la crise de la Covid-19.
Des questions en suspens
En outre, cela fait des années que les scientifiques nous interpellent. Il soulignent régulièrement que le temps nous manque, que les échéances se rapprochent, qu’il y a urgence.
Au quotidien, les équipes Open Lande sont elles-mêmes confrontées aux mêmes questions :
« Relever le défi du climat : doit-on y croire ou pas ?
En quoi cela concerne-t-il mon activité, mon territoire ?
Le sujet est tellement vaste, par quoi dois-je commencer ?
La France représente 1% des émissions de gaz à effet de serre mondiales. À quoi bon passer à l’action pour le climat si les autres pays n’en font pas autant ? «
Que penser, que faire ?
Pour répondre à ces questions, nous vous proposons de (re)voir une des séquences réalisées à l’occasion de la quatrième édition du festival Médias en Seine : “Climat : y a-t-il encore de l’espoir ? ».
Benjamin Mathieu, reporter à France Info, y interroge Jean Jouzel, paléoclimatologue, glaciologue, et ancien vice-président du GIEC, Perrine Simon-Nahum, professeure en philosophie et directrice de recherches au CNRS et Walter Bouvais, entrepreneur et auteur, cofondateur d’Open Lande.
Climat : y a-t-il encore de l’espoir ?
Bon, le titre donne déjà une idée de la réponse.